About Arret Facultatif
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Deze blog is geschreven in twee talen (nederlands-français), door twee opmerkelijke vriendinnen. Wij vertalen elkaar niet, noch corrigeren elkaar, maar vormen samen een complementariteit in woord en beeld. Wij willen graag met onze handen laten geboren worden daar waar u kan van genieten, onder welke vorm dan ook. Poëzie en kleine stukjes uit het leven, maar ook volsagen verzonnen verhalen, hier vindt u het allemaal!
Un petit coup peigne .. 😉
c’est son petit côté Einstein 😉
So beautiful! 🙂
Thank you Amy 🙂
Quelle gueule de philosophe!
c’est sûr: il en impose…
Je ne connais pas de philosophe mais avec celui-ci je pense qu’il faut éviter de se prendre de bec !
Bonne semaine 🙂
exact: éviter les prises de bec avec celui-là 🙂
Bonne semaine Pierrette!
J’adore toujours les expressions du héron qui nous humains nous le font voir toujours ronchon ou ailleurs. Si ça se trouve celui-ci est le plus déluré du groupe 😉 en tous cas, ça le décoiffe de penser.
Je suis prise en flagrant délit d’antropomorphisme 😀 !! ok: je le fais de temps en temps… 🙂 , l’animal humain étant finalement celui que je connais le moins mal. Je pense qu’il faisait sa toilette et il n’en était effectivement pas encore arrivé à la coiffure.
Il est beau ce héron, compliments.
Merci ! Je lui dirai si je le revois 😉
Un jour, sur ses longs pieds, allait je ne sais où,
Le Héron au long bec emmanché d’un long cou.
Il côtoyait une rivière.
L’onde était transparente ainsi qu’aux plus beaux jours ;
Ma commère la carpe y faisait mille tours
Avec le brochet son compère.
Le Héron en eût fait aisément son profit :
Tous approchaient du bord, l’oiseau n’avait qu’à prendre ;
Mais il crut mieux faire d’attendre
Qu’il eût un peu plus d’appétit.
Il vivait de régime, et mangeait à ses heures.
Après quelques moments l’appétit vint : l’oiseau
S’approchant du bord vit sur l’eau
Des Tanches qui sortaient du fond de ces demeures.
Le mets ne lui plut pas ; il s’attendait à mieux
Et montrait un goût dédaigneux
Comme le rat du bon Horace.
Moi des Tanches ? dit-il, moi Héron que je fasse
Une si pauvre chère ? Et pour qui me prend-on ?
La Tanche rebutée il trouva du goujon.
Du goujon ! c’est bien là le dîner d’un Héron !
J’ouvrirais pour si peu le bec ! aux Dieux ne plaise !
Il l’ouvrit pour bien moins : tout alla de façon
Qu’il ne vit plus aucun poisson.
La faim le prit, il fut tout heureux et tout aise
De rencontrer un limaçon.
Un texte de Lafontaine est toujours un bon rappel 🙂
Je pense donc je cui….!!!
La température était très supportable 🙂 enfin pour moi: je ne suis pas dans la peau d’un héron!
CUI CUI …!!!
😀 il crie maintenant cet oiseau!!! ok… j’ai raté le premier passage 😉
Il a l’air de couver, ça laisse le temps pour méditer. 🙂
oui sans doute il couvait mais comme il était au milieu d’un étang je n’ai pas pu mieux voir! effectivement couver est un acte de méditation 🙂
Il est magnifique!
Merci pour lui!!
Ma première réaction : “oh qu’il est beau!!!!!”
et la deuxième??
oui il est beau 🙂
la deuxième : qu’elle photographe cette Gene!!!!
tu es trop gentille avec moi Célinette 🙂